Tous les soldats, travailleurs, convalescents cherchent à s’occuper et à s’amuser: les rues, les parcs et les établissements de loisir de la ville sont investis par ces nouveaux Lyonnais. Les autorités civiles et militaires sont alors poussées à encadrer les loisirs. Durant l’été 1915, on peut citer l’œuvre du Repos du soldat, qui a ouvert un local dans le Parc de la Tête...